Q Life Magazine Qatar Magazine Décembre 2016 | Page 17

L’art au Qatar | | S.E. Sheikha Al Mayassa bint Hamad bin Khalifa Al Thani assiste à « The New York Times Art for Tomorrow Conference » les plus influentes au monde du magazine Time et la liste des 100 femmes les plus puissantes du monde selon Forbes. En 2015, elle a reçu le prix StellaRe, délivré par Patrizia Sandretto Re Rebaudengo, présidente de la fondation italienne d’art contemporain éponyme. En 2005, S.E. Sheikha Al Mayassa a obtenu une licence en sciences politiques et littérature à l’université de Duke, en Caroline du Nord. À cette époque, elle occupait le En plus de son implication dans ces initiatives culturelles, S.E. Sheikha Al Mayassa préside l’ONG Reach Out To Asia (ROTA) dont l’objectif est d’améliorer l’éducation primaire et secondaire en Asie. Elle préside également l’Institut du film de Doha, mettant en valeur des Qatariens à travers des œuvres cinématographiques, des ateliers éducatifs et des festivals locaux. Pour elle, « l’art a toujours fait partie de la culture et de l’identité qatariennes. » Une reconnaissance bien méritée En 2013, S.E. Sheikha Al Mayassa s’est retrouvée en tête du classement des 100 personnes les plus influentes dans le domaine de l’art du magazine ArtReview. Elle a aussi intégré les prestigieux classements des 100 personnes « L’art est très puissant : il ne connaît pas de frontières, il n’implique pas d’appartenir à un pays, une religion ou une classe sociale. L’art rassemble des personnes de tous horizons pour parler d’une idée. » poste de vice-présidente de l’Association internationale et vice-présidente d’Hiwar (une organisation pour le dialogue politique). Elle a également été représentante dans le cadre d’une modélisation des Nations unies. Au cours de l’année scolaire 2003-2004, elle a étudié à l’université Paris-1 Panthéon-Sorbonne et à l’Institut d’études politiques de Paris. Enfin, elle a fait des études supérieures en administration publique à l’université de Columbia, à New York. 17